Perdre du poids
grâce à une flore intestinale saine
S’il est une vérité absolue, c’est que nous sommes ce que nous mangeons. Cela ne tient pas seulement aux calories que nous apportons à notre organisme, mais également à la composition de notre flore intestinale, qui est considérablement influencée par la façon dont nous assimilons les aliments.
En effet, les bactéries qui colonisent nos intestins sont responsables de la manière dont nous digérons les aliments. Elles déterminent quelles vitamines nous synthétisons, la façon dont nous supportons le chou et digérons les lipides (graisses), et même l’efficacité avec laquelle nous assimilons les glucides. Ce sont donc elles qui régulent le nombre de calories que nous absorbons de notre alimentation.
Ainsi, il est tout à fait possible que des personnes ne perdent pas de poids, alors même qu’elles pratiquent beaucoup de sport et qu’elles ont réduit leurs apports.
Perdre du poids
grâce à une flore intestinale saine
S’il est une vérité absolue, c’est que nous sommes ce que nous mangeons. Cela ne tient pas seulement aux calories que nous apportons à notre organisme, mais également à la composition de notre flore intestinale, qui est considérablement influencée par la façon dont nous assimilons les aliments.
En effet, les bactéries qui colonisent nos intestins sont responsables de la manière dont nous digérons les aliments. Elles déterminent quelles vitamines nous synthétisons, la façon dont nous supportons le chou et digérons les lipides (graisses), et même l’efficacité avec laquelle nous assimilons les glucides. Ce sont donc elles qui régulent le nombre de calories que nous absorbons de notre alimentation.
Ainsi, il est tout à fait possible que des personnes ne perdent pas de poids, alors même qu’elles pratiquent beaucoup de sport et qu’elles ont réduit leurs apports.
S’il est une vérité absolue, c’est que nous sommes ce que nous mangeons. Cela ne tient pas seulement aux calories que nous apportons à notre organisme, mais également à la composition de notre flore intestinale, qui est considérablement influencée par la façon dont nous assimilons les aliments.
En effet, les bactéries qui colonisent nos intestins sont responsables de la manière dont nous digérons les aliments. Elles déterminent quelles vitamines nous synthétisons, la façon dont nous supportons le chou et digérons les lipides (graisses), et même l’efficacité avec laquelle nous assimilons les glucides. Ce sont donc elles qui régulent le nombre de calories que nous absorbons de notre alimentation.
Ainsi, il est tout à fait possible que des personnes ne perdent pas de poids, alors même qu’elles pratiquent beaucoup de sport et qu’elles ont réduit leurs apports caloriques.
#BACTÉRIES
Sans les milliards de bactéries qu’abritent nos intestins, nous ne pourrions pas digérer notre nourriture, car elles assument diverses fonctions dans notre métabolisme. Comme les êtres humains, les bactéries comptent parmi elles des spécimens particulièrement appliqués. Et ce qui était par le passé un avantage, s’avère aujourd’hui avoir des conséquences désagréables chez de nombreuses personnes.
La principale souche bactérienne présente aujourd’hui en Europe occidentale, qu’on appelle Firmicutes, est en effet particulièrement appliquée dans un domaine : l’assimilation des lipides. Au grand dam de nombreuses personnes, cela ne signifie pas simplement que les Firmicutes éliminent les lipides de notre intestin, mais qu’au contraire, elles permettent de les absorber très efficacement. Cela entraîne généralement le « stockage » des graisses, par exemple sous la forme de capitons graisseux. Cette stratégie était autrefois profitable aux tous premiers peuples européens, qui devaient pouvoir survivre à la rudesse de l’hiver même sans la chaleur d’une peau de mammouth ou surmonter de longues périodes de disette entre deux trophées de chasse.
De nos jours toutefois, nous préférons absorber le moins de calories possible de notre nourriture, car nous aimerions plutôt manger en quantité ou perdre du poids. Cela ferait donc bien notre affaire, si ces Firmicutes appliquées pouvaient être moins nombreuses ! Les études ont montré qu’on retrouve plus de Firmicutes que de Bacteroidetes (seconde souche bactérienne en Europe occidentale) chez les personnes ayant tendance au surpoids.
Pourquoi nos bactéries intestinales
peuvent-elles influer sur notre poids ?
#BACTEROIDETES
Les Bacteroidetes sont, dans de nombreuses régions du monde, les bactéries intestinales les plus répandues, ce qui n’est toutefois pas le cas sous nos latitudes, où les Firmicutes dominent. Contrairement aux Firmicutes, ces bactéries assimilent mal les lipides.
Certes, en cas de manque de nourriture, les personnes qui disposent de moins de Bacteroidetes et de plus de Firmicutes capables de digérer les lipides s’en sortent donc mieux. Toutefois, l’environnement dans lequel nous vivons aujourd’hui nous réserve moins de défis et les populations du monde occidental vivent davantage dans l’abondance de nourriture.
Les Européens et les Nord-Américains abritent généralement moins de Bacteroidetes dans leurs intestins. Il est intéressant de se demander si cela a une origine génétique, ce qui signifierait que nous ne pourrions rien y changer. Les études ont toutefois prouvé que les ratios des bactéries intestinales des Afro-Américains étaient plus proches de ceux des autres Nord-Américains, que de ceux des populations indigènes africaines. Cela signifie heureusement que nous pouvons multiplier nos Bacteroidetes en modifiant notre mode de vie et nos habitudes alimentaires.
Par ailleurs, il apparaît que la diversité de nos bactéries alimentaires a également une incidence sur notre poids. Ainsi, les personnes avec une importante diversité de bactéries rencontrent moins de problèmes de surpoids. En effet, plus les bactéries sont variées, plus leurs fonctions sont diversifiées et plus notre métabolisme est efficace.
Les Bacteroidetes : de quoi s’agit-il et comment les multiplier?
#PERTEDEPOIDS
Les Firmicutes adorent le sucre et les graisses. Cela signifie malheureusement aussi que lorsque nous avons plus de Firmicutes, les aliments qui font grossir nous donnent plus envie. La première étape est donc de rompre ce cercle vicieux.
Pour ce faire, on se tourne souvent vers un régime pauvre en glucides et vers des aliments qu’affectionnent les Bacteroidetes, comme l’endive, le poireau, la chicorée, le millet, l’avoine ou les fruits non épluchés.
Pour accompagner cette démarche parfois difficile à mettre en place, il existe des produits probiotiques, qui apportent des millions de Bacteroidetes capables de coloniser notre intestin.
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